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7 principes parentaux auxquels vous finirez par renoncer (si ce n’est pas déjà fait)

Par Olivier - Mis à jour le 29 janvier 2024
Des parents renoncent malgré eux aux principes parentaux. Leurs enfants les ont attachés pour faire ce qu'ils veulent

Avant de devenir parents, vous imaginiez l’avenir de votre chérubin, construisant déjà, au fond de votre tête, les grandes bases sur lesquelles vous comptiez fonder son éducation.

Sommaire

Bref, avant vous étiez pétris de principes parentaux, qu’il ne vous restait plus qu’à appliquer comme on fabrique un quatre-quart. Objectif : obtenir un bébé modèle, qui deviendra plus tard un enfant irréprochable, voire même, pour les plus ambitieux, un adolescent exemplaire.

Malheureusement, il n’aura fallu que quelques jours après la naissance de votre minion pour que vos aspirations volent en éclats.

Les principes parentaux auxquels on finit par renoncer

De fil en aiguille, vous finissez donc par renoncer à quelques-uns de vos plus précieux principes parentaux les uns après les autres. La bonne nouvelle, c’est que vous ne vous en portez pas plus mal.

1 | Les jouets rangés

A la naissance de choupinet, vous vous étiez juré que votre salon ne deviendrait jamais une vaste salle de jeux. Et puis, un Playmobil en entrainant un autre, vous avez désormais l’impression de prendre l’apéro avec le casting complet de Toys Story.

2 | Le bonbon avant le dîner

Pas de bonbon ni de chocolat avant les repas. En devenant darons, vous saviez que vous auriez un jour où l’autre affaire à ce grand classique de la frustration infantile (et des principes parentaux). Vous avez d’ailleurs formidablement résisté jusqu’à ce soir d’hiver où votre bigorneau a beuglé un peu plus fort que d’habitude son amour des Haribo, alors que vous affrontiez déjà une migraine carabinée.

3 | 5 minutes de télévision, pas plus

Si vous n’autorisez jamais plus de 5 minutes de télévision à votre lardon, sachez qu’il n’y a qu’à vous que cette injonction parle. Ben oui, nos enfants n’ont pas la notion du temps… et n’ont aucune envie de l’apprendre, surtout s’il s’agit de réguler leur consommation cathodique. Du coup, par un soir de faiblesse vous finissez par lâcher l’affaire, et observez désabusé ce discret rictus de la victoire se dessiner sur le visage de votre minion.

4 | Les fringues assorties

Si vous avez donné vie à un joli môme, c’est (aussi) pour profiter du bonheur de l’habiller sans qu’il ne discute vos goûts vestimentaires avant sa majorité (bon d’accord, son adolescence alors). Mais en fait, que dalle. Alors que votre marmot n’affiche que 20 mois au compteur, voilà qu’il veut déjà choisir seul ses vêtements, et autant dire que ça flashe. Bref, vous avez beau essayer de le ramener à la raison, vous finissez par le laisser sortir avec ce bonnet de bain en guise de chapeau sur la tête.

5 | Les mains propres

Quand on voit où nos enfants laissent parfois trainer leurs mains, on comprend mieux pourquoi certains parents sont peu sensibles aux effusions sentimentales d’avant le bain. Oui mais voilà : vous avez beau prévenir votre marmot qu’une meute de bactéries s’apprête à coloniser durablement ses menottes, il n’en a cure. Du coup, vous vous êtes acheté un gel antiseptique en kingsize, qui de toute façon ne vous quitte plus depuis la pandémie du Covid-19.

6 | La politesse en toute circonstance

Au rayon des principes parentaux, la politesse tient souvent le haut du pavé. A peine votre chérubin voyait-il le jour que vous vous étiez juré d’en faire un enfant courtois quoiqu’il arrive, à coup de « bonjour madame » et de « merci monsieur ». Et puis un jour, votre lardon a décidé de n’en faire qu’à sa tête, refusant de saluer la boulangère qu’il a pourtant l’habitude de croiser, juste comme ça, pour voir si ça vous emmerde. Conclusion : oui, ça vous emmerde, en effet.

7 | La discrétion dans les lieux publics

Si vous n’êtes pas un grand fan des bonnes manières façon Baronne de Rostchild, vous n’aimez pas non plus qu’on vous confonde avec un Groseille (cf. « La vie est un long fleuve tranquille », pour les moins de 20 ans). Du coup, vous passez des heures à inculquer les traditions à votre mouflon, qui persiste malgré tout à s’enfiler ses crottes de nez en amuse-bouche au restaurant. Classe et discrétion.

N’oubliez jamais que lâcher du lest de temps en temps ne revient pas à céder durablement aux règles que vous avez fixées. Restez exigeants avec vous-même, mais ne vous pensez pas infaillibles, vous vous feriez du mal.

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